PX 2 400
Défense
CA 17, contact 17, pris au dépourvu 12 (Dex +4, esquive +1, taille +2)
pv 58 (9d8+18)
Réf +7, Vig +8, Vol +5
RD 5/tranchant ; Immunités traits des plantes
Faiblesses léthargie dans le froid
Attaque
VD 1,50 m, creusement 1,50 m, escalade 1,50 m
Corps à corps vrilles, +12 (1d2-3 plus paralysie)
Espace occupé 0,75 m ; Allonge 0 m (1,50 m avec vrilles)
Attaques spéciales paralysie (1d3 minutes, DD 16), parasitisme
Magie psychique ( NLS 9 ; concentration +11)
Caractéristiques
For 4, Dex 19, Con 14, Int 4, Sag 15, Cha 15
BBA +6 ; BMO +8 ; DMD 16 (croc-en-jambe impossible)
Langues aklo (parle uniquement par le biais de son hôte)
Particularités germe, immobilité
Écologie
Environnement forêts ou villes, chaudes ou tempérées
Organisation solitaire ou infestation (2-5)
Trésor fortuit
Pouvoirs spéciaux
Germe (Sur). Une fois par jour, une gale chagrine parasitaire peut dévorer les émotions de son hôte pendant une heure, lui infligeant un affaiblissement temporaire de 2d4 points de Charisme. Suite à ce festin psychique, elle produit un semis qui pousse sur son corps et qu’elle doit implanter dans un nouvel hôte en une semaine ou moins, sous peine de voir le semis périr. Une gale chagrine ne peut avoir qu’un semis sur elle à la fois.
Léthargie dans le froid (Ext). Une gale chagrine qui subit des dégâts de froid est ralentie (comme avec le sort de lenteur) pendant 1d4 rounds.
Parasitisme (Sur). Par une action complexe qui provoque des attaques d’opportunité, une gale chagrine peut se faufiler ou implanter un semis dans la gorge d’un humanoïde adjacent, consentant ou sans défense. Un semis implanté de la sorte devient une gale chagrine pleinement développée au bout d’une minute, pendant laquelle le semis peut être retiré par une créature autre que la cible en réussissant un test de Premiers secours DD 20. Les filaments d’une gale chagrine implantée se greffent au système nerveux de l’hôte et le contrôlent, comme avec une domination. Ce contrôle n’est pas empêché par une protection contre le Mal ou des effets similaires et l’hôte ne peut pas faire de jets de sauvegarde pour y résister. Chaque jour, la gale chagrine inflige un affaiblissement temporaire de 1d2 points de Charisme à son hôte, alors qu’elle se repaît de ses émotions. La gale chagrine occupe le même espace que son hôte, sans qu’ils ne se gênent l’un l’autre ; elle utilise ses fleurs pour voir et entendre, et elle peut attaquer indépendamment de son hôte, notamment avec ses vrilles qu’elle extrait de la bouche de l’hôte. Les sorts à zone d’effet affectent la gale chagrine et l’hôte. Un adversaire peut attaquer la gale chagrine seulement, mais il subit un malus de -4 au jet d'attaque. Si une gale chagrine parasitaire est tuée, son hôte tombe inconscient pendant 1d4 heures, période pendant laquelle les filaments de la gale fanent, ce qui permet de l’extraire sans blesser l’hôte. L’extraction avant la mort de la gale nécessite 1d4 minutes de travail et la réussite d’un test de Premiers secours DD 25. En cas d’échec à ce test, l’hôte est définitivement paralysé.
|
Des vrilles à l’extrémité pointue et des filaments fleuris surgissent de cette minuscule plante frétillante à l’aspect de larve.
Les gales chagrines sont d’impitoyables parasites psychiques qui se nourrissent des émotions. Leur corps est une minuscule cosse végétale frétillante qui ressemble beaucoup à un asticot. De longues vrilles poussent sur la cosse. De l’extrémité pointue de ces vrilles suinte une sève aux effets paralysants. Des filaments plus courts et couverts de fleurs permettent à la créature de voir et d’entendre. Une gale chagrine doit s’implanter dans un humanoïde et, le cas échéant, elle pousse à grande vitesse pour atteindre sa taille adulte, mais sans hôte humanoïde, elle ne peut survivre plus d’une semaine. Elle tente de cacher son corps et ses vrilles dans la bouche de l’hôte. En expulsant ses filaments par le cou et le cuir chevelu de la victime, elle externalise ses organes sensoriels en leur donnant l’apparence d’une coiffe ou d’une guirlande de fleurs mêlée aux cheveux de l’hôte. Une gale chagrine et toutes celles germées depuis ses semis forment souvent une même unité familiale entortillée en se rassemblant dans une maison abandonnée dans une grande zone urbaine. Une gale chagrine vénérable, reconnaissable par le nombre de vrilles toujours plus élevé au fur et à mesure qu’elle prend de l’âge, fait office de matriarche.
|